"L'Escadron Cristal" est unique en son genre. En effet, seul cet escadron virtuel vous permet de faire évoluer un personnage au cours d'une campagne scénarisée complète, en multijoueurs, et sur X-Wing Alliance. Vous pourrez ainsi accéder aux dernières découvertes des fans-pilotes et leurs adaptations. Il vous est possible d'en savoir plus au sujet des détails techniques en écrivant au leader de l'escadron.
Au rythme détendu d'une mission par mois, la campagne vous propose des missions originales et inédites, inclues dans un scénario complexe et interactif, car les actions de chaque personnage créé par les joueurs auront des répercussions sur l'évolution des événements.
• Exemple: Vous brillez lors d'une mission, remplissant tous vos objectifs. Votre personnage pourra être promu et médaillé, voire intégrer l'Histoire et rester dans la mémoire de tous.
En tant que pilote de chasse, votre personnage est soumis à une hiérarchie militaire qu'il lui faudra respecter. Savoir gérer le jeu de rôle et sa propre personnalité est une qualité importante pour la cohésion du groupe.
Bien que le rythme de jeu des missions ne soit pas insoutenable, il est toujours possible de signaler son impossibilité de jouer à une date prévue. Si elle ne peut être modifiée, vous n'aurez qu'à jouer la mission suivante.
Afin de pousser le réalisme et l'excitation des missions, votre personnage est soumis aux dangers mortels du combat. Bien que les pilotes de la Nouvelle République puissent s'éjecter et fuir en hyperespace, ces occasions restent des cas particuliers : si vous êtes abattu, et même si vous réussissez à vous éjecter, il faut une bonne part de chance pour survivre à l'explosion et jusqu'à la récupération. Malgré cela, afin de sauvegarder le plaisir de faire évoluer un personnage durant plusieurs missions, le réalisme est équilibré de telle façon à ce que certains paramètres habituellement décisifs soient ici relativisés, comme la mise à disposition d'une navette pour la récupération, considérée comme acquise. Ne vous en faites donc pas de trop si vous êtes abattu, le bacta fait parfois des miracles.
Un forum est mis à votre disposition : il vous est demandé de la consulter régulièrement, non seulement pour donner vos propositions de dates de rendez-vous, mais aussi pour participer activement à la vie de l'escadron, ce qui comprend votre avis sur les textes et sur les missions.
"L'Escadron Cristal" n'est toutefois pas un escadron classique, incluant entraînements, participation aux tournois, etc. Vous trouverez pour cela votre bonheur sur la LFXW.
Pour toute question supplémentaire, n'hésitez pas à contacter cristal leader.
Ci-dessous se trouve le formulaire permettant de proposer votre inscription dans notre escadron.
Des questions complémentaires pourront vous être posées ultérieurement.
Ce paragraphe va vous permettre de vous familiariser avec l'histoire de l'escadron Cristal avant que ne débute la campagne, ainsi que de le situer dans la saga StarWars. Les personnages les plus influents de l'ère en question sont présentés, de même que, bien sûr, les individus liés à l'escadron. Consultez ces informations régulièrement : elles évolueront avec la progression du Cristal dans la campagne.
Vous trouverez également à la fin le détail de la hiérarchie et les médailles pouvant être obtenues. Sachez toutefois que des médailles spécifiques seront créées pour marquer la participation à une bataille cruciale.
Le groupe "Cristal" fut fondé par les survivants du groupe de B-Wings Gris de la Bataille d'Endor. D'abord connu comme escadron d'élite de bombardiers, donc, il opta rapidement pour la polyvalence. D'ailleurs ses pilotes n'avaient pas le choix, étant donné la manque cruel d'effectifs de l'Alliance, qui devait cependant agir vite pour prendre le dessus sur l'Empire, après la destruction de la seconde étoile de la mort. Après quelques accroches avec le Seigneur de Guerre Zsinj, l'Escadron Cristal se lança dans sa première campagne véritable, celle dont l'objectif final était la prise de Coruscant. Ouvrant la route aux Rogues et aux Spectres, il fut à nouveau utilisé comme unité de bombardiers lors de l'assaut terminal.
Après la prise de Coruscant et l'établissement officiel de la Nouvelle République, sa réputation le conduisit droit dans la campagne du Grand Amiral Thrawn quelques années plus tard. Pratiquement anéanti à Sluis Van, il fallut attendre la Bataille de Bilbringi pour voir l'escadron réunifié...sauf qu'il attendait à Tangrene. Il ne participa donc pas à la bataille de Bilbringi même.
Suite à ces passages de troubles, il fut successivement envoyé contre les flottes de Daala et Pellaeon, et même contre les Yevethas. Ayant regagné du prestige au cours de ses campagnes, il entama sereinement ses combats contre les forces du prétendu "clone de Thrawn". Jusqu'au jour où la totalité de l'escadron disparu sans laisser de trace...
Le traité de paix entre la Nouvelle République et les Vestiges de l'Empire étant signé, l'Amirauté décida de reformer symboliquement l'escadron en mémoire des disparus. On affecta à sa tête un vétéran de l'Escadron Rogue qui avait maintes fois prouvé sa valeur au commandement, mais dont le caractère hautain et austère lui avait déjà valu une étrange réputation au sein de la flotte.
Aux dernières nouvelles, l'Escadron Cristal fut affecté au contrôle du carrefour de la route commerciale corellienne et de la voie marchande de Rimma, près de Yag'Dhul. Malgré les rixes habituelles, le système était rôdé depuis des milliers d'années et cette affectation se voulait, a priori, assez banale...Mais le mystère de la disparition des anciens pilotes de l'escadron restait entier.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur cette page.
Symbole vivant du rôle prépondérant qu'ont joué les Bothans pour l'Alliance lors de la Guerre Civile Galactique, Borsk Fey'lya est aussi le représentant de l'autorité du Sénat. Ayant finalement accédé au poste de Président de la République à la suite de Ponc Gavrisom (à qui on doit le traité de paix signé avec Pellaeon), Borsk affiche une image de héros quelque peu ternie par ses différends avec des membres éminents de la Nouvelle République tel que l'amiral Ackbar. Mais il a aussi montré qu'il tenait à préserver la démocratie, en lavant par exemple l'honneur de son peuple des accusations de l'affaire caamasie. Quoiqu'il en soit, il tient à ce que la Nouvelle République s'affirme militairement.
Séparé de sa famille alors qu'il était Préfet de Police d'une ville de Chandrila par les forces spéciales de l'Alliance Rebelle,
Hirctanis Aria fut placé sans autre forme de procès à la tête de la "Flotte Bleue", petite force d'intervention censée échapper à tout recensement par les services d'intelligence ennemis, pour la simple raison qu'elle était virtuellement inexistante, et l'est toujours.
Des formes de persuasion plus ou moins orthodoxes vinrent à bout de ses protestations et usèrent progressivement son optimiste et ses plaisirs de la vie. Consacré corps et âme à son poste à défaut de pouvoir s'en défaire, il devint par ailleurs un amiral
de talent, quoique pris d'accès de démences et sous la surveillance étroite du "Conseil", groupe restreint constitué des seuls connaisseurs de l'existence de la flotte secrète. Agissant en amont de nombreuses opérations décisives, comme les batailles
d'Endor ou d'N'zoth, il fit également de la flotte bleue la première unité en importance et en efficacité concernant l'exploration de l'espace inconnu et l'étude de phénomènes inexpliqués. Retrouvant par hasard son fils,
Cirdec Aria, alors leader de l'escadron Cristal, après plus de trente ans sans contact, il fut dans le même temps le premier témoin du retour des Yuuzhan Vong dans la galaxie.
Grande figure de la Rebellion puis de la Nouvelle République, tout citoyen moyen de la Galaxie connaît ce calamarien légendaire. Avec deux Grands Amiraux de l'Empire vaincus à son actif, ainsi que les Batailles d'Endor, de Bilbringi, de Mon Calamari, entre autres, Ackbar fut aussi l'élément déterminant qui permit à l'Alliance de se doter de croiseurs Mon Calamari et de B-wings. Aucune tentative de le destituer, plus ou moins subtile, ne s'est avérée. Il est respecté par ses ennemis, admiré par tous. Bien qu'il ait annoncé que la retraite viendrait rapidement pour lui, il souhaite passer ses derniers mois de fonction officielle à transmettre son savoir et ses compétences.
Héros galactique incontestable, Luke Skywalker est devenu un symbole puissant, autant pour ses alliés que pour ses ennemis. Né sur la même planète déserte aux confins de la galaxie, le fils d'Anakin Skywalker alias Dark Vador a influencé des changements majeurs dans la galaxie au moins tout autant que son père l'a fait. Parmi toutes ses actions remarquables, c'est peut-être la création d'une nouvelle académie Jedi qui semble la plus déterminante, mais aussi la plus sujette à tensions au sein du gouvernement Républicain. Depuis qu'il s'est marié à Mara Jade, Luke a encore combattu le côté obscur, mais a surtout démontré que l'amour n'était pas, comme le prétendait l'ancien ordre, une entrave à la pratique Jedi, mais bien à la fois un repère et un catalyseur. Pouvant se vanter d'avoir traversé toutes sortes d'épreuves, Skywalker cherche continuellement à canalyser sa puissance et ses capacités qui, si elles semblent extraordinaires pour n'importe qui, apparaissent limitées aux yeux de certains apprentis jedi qui peuvent concevoir la maîtrise qu'il a pu accumuler durant toutes ses années. Une erreur sans doute, car ce qui résonne alors soudain en eux n'est rien d'autre que l'écho du côté obscur...
Commandeur en chef des flottes de la Confédération Sierran, Konrak porte les traits physiques et caractériels typiques de son peuple. Sa carrière est plutôt banale,
et il doit son grade et son poste, comme les autres officiers de la confédération, plus à des actions permanentes de défense interne qu'à des interventions offensives.
Son vaisseau amiral, l'Isildur, a notamment assisté au premier et unique combat du supercroiseur Sierran "Colossus", éperonné par le superdestroyer "Cyclope" du Maître de Guerre Psavek Tar, alias Dark Terrifico.
Tacticien de génie, Traest Kre'fey est depuis longtemps dans l'ombre de deux homologues : l'Amiral Ackbar, et le Bothan Borsk Fey'lya. Mais lui aussi a déjà participé à de nombreuses batailles, et est directement désigné pour succéder au commandement suprême des flottes de la Nouvelle République après Ackbar, même si ce fut Sovv qui prit d'abord ce poste. C'est lui qui prôna l'entrée en service de bâtiments de guerre plus adaptés et plus récents que les croiseurs calamariens ou les destroyers stellaires, tels les croiseurs Dauntless ou supercroiseurs Bulwark. La production d'ailes E et K en grande quantité lui est partiellement dûe. Malheureusement, depuis le traité de paix signé avec l'Empire, Fey'lya a fait ralentir de façon conséquente la production, puisque tout conflit majeur dans la Galaxie était terminé. Traest devra plus tard combattre une menace terrible pour laquelle il aurait bien fallu continuer la production...
Les Renseignements de la Nouvelle République (RNR) ne seraient pas ce qu'ils sont sans Drayson. Appelé à chaque fois que des opérations cruciales doivent être planifiées, Drayson reste cependant dans l'ombre, objectif majeur de son travail. Il paraîtrait même qu'il laisse circuler de faux portraits de lui afin de tromper les éventuels espions. Cet homme charismatique a déjà rencontré au moins une fois chaque héros de l'Alliance ou de la Nouvelle République, et reste à l'origine des plus grands succès dans les opérations secrètes lors des premières décennies de la Nouvelle République.
Ayant toujours caché son jeu, Ohar Shaam avait toujours vivement souhaité bouter le domaine Tar hors du commandement
de la caste des Explorateurs. Faussement fidèle à Min Tar puis à Psavek Tar dans leurs plans de conquête sous leur symbole commun de "Toréador Terrifico", Ohar avait tiré avantage de l'excès de fierté de Tsavek lorsque ce dernier avait désiré mener lui-même le
dernier combat du superdestroyer Cyclope contre le supercroiseur sierran Colossus. Psavek mena l'opération avec succès, mais fut happé par la frégate d'interdiction de la flotte bleue sur le chemin du retour, et sa navette fut détruite. Le message qu'il envoya par son villip,
et qui signifiait qu'il était mort en l'honneur du domaine Tar que celui-ci devait continuer à diriger la caste des Explorateurs, fut intercepté par Ohar Shaam, qui le détourna en sa faveur, prétendant que Tsavek Tar
avait ordonné sa promotion en tant que Maître de Guerre. Grâce aux informations fournies par son espionne Eslan Hazrth, il fut à deux doigts de contrecarrer l'offensive de l'amiral Aria,
mais le sacrifice de Cristal Leader déjoua son plan, et la flotte des Explorateurs fut séquestrée dans son pan de vide extragalactique.
Laborieusement arrivé au rang de Général, Sien Sovv, à en croire ses supérieurs, a un grand potentiel qu'il n'exploite pas. Longtemps capitaine de corvette, il lui fallut un moment pour s'adapter aux stratégies d'échelle galactique. Mais Kre'fey croyait en lui, et disait même qu'un jour il le remplacera au poste de premier commandeur des flottes, provoquant parmi ses interlocuteurs une hilarité non retenue. Le fait est que Kre'fey ne s'attendait pas non plus à le voir à la tête des flottes avant lui. Et pourtant, il fut promu Amiral et du même coup Suprême Commandeur des Forces de Défense de la Nouvelle République par Fey'lya, suite à son succès lors de la campagne pourpre mais surtout pour qu'il puisse commander deux flottes entières et libérer le secteur bothan de la menace Pourpre X. Il mena avec succès la bataille décisive de Pzob - grâce au sacrifice de Wizok'O'Wag - et confirma ainsi aux yeux de la galaxie son poste de Suprême Commandeur qu'il conserva lors des premières étapes de l'invasion Yuuzhan Vong, ce qui lui valut d'avoir été désigné responsable de l'écrasement de la Nouvelle République par les forces ennemies.
Héros incontesté de l'Alliance puis de la Nouvelle République, Wedge Antilles est connu de toute la galaxie pour avoir constribué à la destruction des deux Etoiles de la Mort. Il a, pendant près d'une quinzaine d'années, dirigé l'escadron le plus réputé dans la Galaxie, s'entend l'escadron Rogue. Originaire de Corellia, Wedge a toujours gardé son âme de boute-en-train, qui fut une des raisons de son succès à la tête des Rogues. Ses parents ayant été massacrés par des pirates dans son jeune âge, ce qui reste de sa famille réside en sa soeur Syal Antilles, aussi connue sous le nom de Wynssa Starflare, son appellation d'actrice ; pourtant, le hasard la plaça dans les bras de son pire ennemi, le Baron Fel, leader du 181ème escadron Impérial d'Intercepteurs. Cela fait des années que le 181ème a cessé de fonctionner, mais Antilles n'a toujours pas pu revoir sa soeur. Bon gré, mal gré, il fut nommé Général, bien qu'il ait pendant longtemps refusé le titre pour rester chez les Rogues. Evitant comme il peut l'oisiveté d'un bureau militaire, il s'efforce d'être présent en première ligne quand le besoin s'en fait sentir.
Corran Horn s'est d'abord distingué en tant qu'exceptionnel pilote de chasse dans l'escadron Rogue, en participant entre autres à la campagne contre le Seigneur de Guerre Zsinj. Il découvrit ensuite ses dons au contrôle de la Force, et lorsque Mirax, sa femme, fut capturée par une ancienne Moff - Leonia Tavira - il décida, afin de la libérer, de suivre un apprentissage plus ou moins secret à l'académie de Skywalker sous le nom de Kieran Halcyon, ascendant de son grand-père. Il devint chevalier Jedi après son sauvetage, et eut en l'an 13 un enfant de Mirax appelé Valin. Il combattit encore quelques temps avec l'escadron Rogue avant de partir à la retraite suite aux accords de Bastion pour poursuivre sa maîtrise de la Force. Il eut récemment un autre enfant avec Mirax, une fille appelée Jysella.
N'étant plus que quelques milliers à travers la Galaxie, les Caamasis sont malheureusement d'autres témoins de l'extrême tyrannie de l'Empereur Palpatine. Lorsque Caamas fut détruite, Wizok'O'Wag ne s'y trouvait pas, comme la plupart des survivants de son espèce. Il était alors pilote pour une organisation pirate dans le secteur des colonies, qui interceptait les convois de bacta provenant de Thyferra en revendant la précieuse denrée aux plus offrants. Mais elle fut vite anéantie lorsque Palpatine entama son projet de "purification". Wizok n'eut alors d'autre choix que de chercher l'asile chez la Rebellion naissante. Fort de ses années d'expérience, il assura alors la protection de convois de bacta pour le compte de la rebellion dans le secteur des colonies, combattant avec efficacité les embuscades qu'il organisait autrefois. Refusant il y a peu le grade de général - du fait de la célèbre modestie et de la sagesse des caamasis - afin de rester dans le secteur des colonies, il fut placé sous les ordres du général Sien Sovv. Après avoir fortement contribué aux côtés du Cristal à la réussite de la campagne contre la Vibrolame Pourpre, il fit aussi en sorte de clore celle liée à la crise des armes secrètes de la Nouvelle République en se sacrifiant, lui et la Luciole, dans le coeur du réacteur de la station Pourpre X 1. Il vécut et mourut en héros, et s'imprégna dans la mémoire de toutes ses connaissances.
Gavin est le cousin de Biggs Darklighter, et naquit comme lui sur Tatooine, dix ans avant la bataille de Yavin. Alors fasciné par la princesse Leia, c'est à l'âge de 16 ans qu'il intégra l'escadron Rogue, tout comme Wedge Antilles à son époque. Il s'illustra rapidement, notamment lors de l'assaut de Coruscant, mais fut mortellement blessé à Talasea, le contraignant à séjourner plusieurs semaines en cuve Bacta. La mort de la bothane Asyr Sei'lar, son amante depuis plusieurs années, fut un autre coup dur pour le jeune homme, qui, au-delà des dangers du combat, apprit toute la rudesse de la vie, et forgea rapidement son caractère d'homme mûr. Ses années de bons et loyaux services payèrent quand, peu après avoir eu sa première fille avec Sera Faleur, il reçut le commandement de l'escadron Rogue alors que Tycho Celchu était lui aussi sur le point de se retirer.
Cette séduisante femme native de Toprawa s'est distinguée dans les premières années de la Nouvelle République en tant que membre de l'escadron Spectre, plus pour ses aptitudes d'infiltration que de pilotage. Souhaitant à cette époque garder ses distances par rapport à sa sensibilité à la Force, elle finit par devenir Chevalier Jedi en l'an 10 en transmettant ses acquis à son fils Doran, né de son union avec Kell Tainer.
Cette Twi'lek au charme incisif, native de la planète volcanique Sullust, mérite tout à fait son pseudonyme torride. Ayant rejoins la Nouvelle République de son plein gré alors qu'elle n'était qu'une jeune adolescente, elle fut presque aussitôt mutée aux opérations de patrouilles dans le secteur des colonies. Elle y rencontra Wizok O'Wag et connut avec lui plusieurs succès, les pirates du secteur étant encore mal organisés. C'est ainsi que suite à ses victoires, elle obtint ce surnom de "dragonne", déclinant à sa peau verte son caractère piquant, sa dangerosité en vol, et sa beauté tragique. Elle fut par la suite, du fait de son ancienneté, amenée à prendre la direction d'un escadron, sous les recommandations du caamasien lui-même. En toute logique, elle l'appela l'escadron Dragon, et fut assignée avec lui à la défense du système Thyferra pendant quelques années, avant le début de la campagne pourpre. Lorsque la Vibrolame anéantit le quatrième avant-poste du système, qui était progressivement devenu le havre de l'escadron Dragon, elle et ses pilotes furent contraints de rejoindre la sixième flotte de Sien Sovv. Les Dragons furent quasiment exterminés lors de l'assaut final contre la Vibrolame, lors duquel ils devaient protéger l'escadron Cristal. Alors qu'elle venait de s'impliquer dans une relation ambigue avec Cirdec Aria, Nagora perdit la vie en protégeant une des ailes K du Cristal. Du moins, c'est ce que tous croyaient. Elle conclut semble-t-il un pacte avec Terrifico pour qu'il la ramène à la vie et qu'elle puisse revoir Cirdec. Dark Terrifico, évidemment, l'avait trompée, et l'envoya tuer celui qu'elle aimait. Ace dut se résoudre à l'abattre alors qu'elle le prenait en chasse avec une aile A.
On connaît peu de choses de cette espionne Yuuzhan Vong de la caste des Explorateurs. Elle se serait infiltrée dans les forces de la confédération Sierran et, ayant été assignée au Cristal, l'a suivi jusqu'à la flotte bleue mettant ainsi en péril
le secret le mieux gardé de la Nouvelle République. Elle est morte à bord du croiseur Justice des mains de Jess Odryll, celui-ci étant intervenu pour sauver le lieutenant Carel de ses griffes. Ce dernier était tombé amoureux d'Aziraël, la Yuuzhan Vong dans sa version grimée, et, s'inquiétant de sa disparition soudaine, était parti à sa recherche. Pourtant, elle avait déjà pu transmettre des informations essentielles au maître de Guerre Ohar Shaam quant aux plans de l'amiral Aria pour
détruire le portail dimensionnel du système Zatrak.
Pilote espiègle mais aguerri, Evin Drolk est originaire de Balmorra. C'est en répondant à un appel de détresse que son groupe de patrouille fut happé par le "Trou". La flotte bleue était alors aux prises avec
quelques vaisseaux Yevethas sur le point d'arraisonner des cargos de la nouvelle république disposant d'informations confidentielles. Comme la plupart des pilotes dans son cas, il eut beaucoup de difficultés à se résigner à son sort et commença sa nouvelle carrière en violent fauteur de trouble, organisant des traffics d'armes et usant d'explosifs.
Ses exactions entraînèrent un renforcement des procédures de sécurité, et ses camarades le convainquirent d'y mettre un terme. Ses supérieurs remarquèrent alors ses hautes aptitudes au pilotage et surtout au commandement d'un groupe,
les militaires de la flotte lui vouant généralement un grand respect et une grande réceptivité à son humour. En dépit de son passé, il fut promu et placé à la tête de l'escadron "Bleu", groupe d'interventions systématiques à effectifs inconstants. La rudesse et l'endurance de son travail calmèrent ses ardeurs
et les performances du groupe se firent bientôt ressentir. Depuis lors, il est considéré comme l'un des pilotes clefs de la flotte, et fut remarqué lors de la Bataille de Yaga Mineure.
Beauté outrageuse depuis son adolescence, Tattiana choisit l'armée comme un exil au harcèlement public constant des hommes de son entourage,
pensant, naîvement, que le domaine militaire fait de rigueur lui accorderait un peu de répit. Réalisant trop tard que ce n'était guère la solution, elle devint femme de caractère, ajoutant à son pouvoir de séduction celui de l'autorité.
Ainsi, respectée également pour ses qualités de combattante, on la jugea apte au pilotage et on l'envoya rejoindre l'académie républicaine d'Obroa-Skai. Sa navette tomba dans une embuscade tendue par une espèce inconnue. La Flotte Bleue intervint pour sauver les passagers
du vaisseau ; elle ne put jamais en savoir plus. Mais elle obtint sa place de pilote, et sa place de femme accomplie dans la flotte, et c'était ce qui comptait. Elle ne peut s'empêcher, de temps en temps, de s'imaginer la vie qu'elle aurait pu obtenir
si à l'époque elle avait mis son charme au profit d'une carrière dans le spectacle...Bref, aujourd'hui, elle risque sa vie tous les jours, et ses longs cheveux roux, s'ils sont tolérés, ne lui sont pas d'un grand secours.
Transportant avec lui l'aura du Grand Amiral Thrawn, Gilad Pellaeon fut tout désigné pour lui succéder à la tête de l'Empire après son assassinat. Mais il éprouve de grande difficultés à maintenir un Empire uni et cohérent. Le traité de paix qu'il a signé avec la Nouvelle République pour se décharger du poids des incessants conflits n'a, en fait, rien arrangé. Les Moffs sont distants et organisent leurs propres affaires, exploitant parfois les pirates du secteur tels les Cavrilhus pour se doter d'une puissante force militaire. C'est en partie pour cette raison que Pellaeon n'organise pas d'opérations militaire en association directe avec la Nouvelle République, de peur de les provoquer et de déclencher une guerre civile. Les dissensions sont contenues avec l'aide de Talon Karrde qui relaie les informations entre Pellaeon et ses partisans et la Nouvelle République.
Stéréotype du produit de la discipline impériale, Chaak Mandryth est fidèle à Pellaeon comme il l'était autrefois à Thrawn. Son arrogance lui a permis d'accéder au rang de général et d'obtenir le commandement d'une flotte pour des missions de patrouilles avec de rares interventions auprès des Moffs pour calmer les tensions, mais surtout pour représenter l'autorité de Pellaeon. Récemment, Chaak Mandryth et son Oppressor ont été désignés pour se charger de missions particulières, visant à résoudre certains mystères du secteur impérial. Il dirige donc des investigations d'un bout à l'autre des Vestiges sans pour autant en sortir.
Si la Nouvelle République et l'Empire se sont battus pour le contrôle de la Galaxie, ce ne sont de loin pas les représentants majoritaires des peuples de cette même Galaxie. Par exemple, l'espace Hutt compte presque autant de planètes que celui des Vestiges. Beaucoup de planètes sont encore indépendantes, d'autres sont unis sous des enseignes plus ou moins obscures allant de l'hégémonie au consortium en passant par l'organisation pirate. La Vibrolame Pourpre est l'une d'elles, commandée par l'auto-proclamé Seigneur du Crime Toréador Terrifico (personne ne semble savoir s'il s'agit de son véritable nom). Avec des centaines de vaisseaux sous ses ordres et des milliers d'hommes, La Vibrolame représentait une des plus grandes menaces pirates de la Galaxie et formait donc une priorité pour la Nouvelle République. A l'issue de la campagne de la sixième flotte dans le secteur des colonies, son vaisseau capital, la Vibrolame, un Bulwark qu'il avait volé dans les chantiers mêmes de TransGalMeg, tomba dans une embuscade en orbite de Thyferra, et succomba sous le feu du destroyer Mon Mothma et du superdestroyer Lusankya, commandés respectivement par le général Antilles et l'amiral Kre'fey. Terrifico mourut sans doute dans l'explosion de l'immense vaisseau. Mais il s'avéra, à l'issue de la campagne du Pourpre X, que Terrifico était en fait un Sith appelé Dark Terrifico, et qu'il avait survécu à la destruction de la Vibrolame. Son plan machiavélique avait visé à occuper la République pendant l'entraînement de son apprentie, Dark Lophrys, et la mise en place du projet de Crise des Armes Secrètes de la Nouvelle République, sous le nom de Pourpre X. De son côté, il s'empara de la flotte du Moff Gynert près des frontières des Vestiges de l'Empire et s'en servit pour tenter d'assouvrir la petite mais riche confédération Sierran. Après avoir sacrifié le Cyclope, son vaisseau amiral, contre le supercroiseur sierran Colossus, Psavek était prêt à revenir en héros auprès de sa flotte pour débuter l'invasion. Mais sa navette organique fut interceptée par le flotte bleue, et il périt en envoyant un ultime message, ordonnant la succession du domaine Tar; message qu'Ohar Shaam, son auxiliaire, transforma en sa faveur.
Ayant embrassé son côté obscur près de 4000 ans avant la guerre civile galactique, on connaît peu de chose de cette Sith, sinon qu'elle fut réputée pour rejeter toute forme de sentiments, ce qui peut paraître paradoxal compte tenu de ses croyances. Elle réussissait apparemment à canaliser ses émotivités dans la Force, la rendant particulièrement puissante et capable de contrôler ses effets à une très large échelle. Sa mort resta mystérieuse, et pour cause, elle réapparut étrangement 24 ans après la bataille de Yavin, lors de la crise des Armes Secrètes de la Nouvelle République, apparemment à la tête de la supercherie. Lorsque la station Pourpre X 1 fut détruite et que la campagne du Pourpre X fut close, elle s'enfuit sur une planète du nom de Serroco, abandonnée depuis des siècles, où elle fut tuée par Luke Skywalker.
Ce Trandoshan inventif représente La Vibrolame Pourpre dans le secteur des colonies. Son rôle ? Intercepter les convois passant par les routes commerciales et revendre leur marchandise. Il se heurte souvent à la Nouvelle République, mais puisqu'il fait preuve d'une efficacité correcte avec une demande de matériel dérisoire, Tauréador Terrifico a décidé de le laisser à son poste. Lors de l'opération finale que la Nouvelle République mena contre la Vibrolame Pourpre, il fut arrêté sur la corvette Luciole, pour être conduit au centre pénitentiaire néo-républicain de Yag'Dhul. Suite aux circonstances qui ont conduit la Luciole au coeur du conflit Pourpre X, Urf Gadurf a saisi la chance d'ajourner son incarcération en fournissant des informations à la Nouvelle République. Il mourut avec Wizok O'Wag à bord de la corvette lorsqu'elle fut sacrifiée dans le coeur du réacteur de la station Pourpre X 1.
X-Wing Alliance est réputé pour sa grande variété de vaisseaux, dont une part importante provient directement de l'Univers Etendu. Toutefois, le contexte scénaristique de l'Escadron Cristal impose certains atouts technologiques supplémentaires, en particulier du côté de la Nouvelle République. Pour mettre à jour X-Wing Alliance, nous nous sommes servis du patch 1.01 de Projet Galaxie réalisé par Dark Bane, destiné au départ pour le test public, mais force est de constater qu'il fonctionne très bien dans le cadre de notre projet. Ce patch est bien sûr indispensable pour participer à notre campagne. Vous trouverez plus d'informations en section téléchargements.
Ci-dessous sont déclinés les appareils installés avec ce patch.
Excepté pour le croiseur Dauntless dont les informations proviennent d'Anakin Web, les textes sont tirés de Star Wars Holonet, que nous remercions et félicitons.
Le chasseur léger E-wing voit le jour sous la Nouvelle République, lors de la campagne menée contre le Grand Amiral Thrawn. Un an après ces évènements, lors de la résurrection de l'Empereur Palpatine, le E-wing est déjà une composante importante des forces de défense de la Nouvelle République.
Conçu par les ingénieurs d'Incom déjà responsables de la création du chasseur T-65 X-wing, le E-wing donne à la société nouvellement créée, FreiTek, une notoriété soudaine. Dès les premiers engagements en conditions réelles, le E-wing montre son fabuleux potentiel contre les chasseurs impériaux. Son rôle principal, à l'image de l'intercepteur A-wing, est de protéger les convois de la République face aux embuscades impériales.
Le E-wing est un chasseur rapide et dotée d'une bonne puissance de feu. Son armement principal se compose de trois canons-laser disposés en triangle : deux sur les ailes, le troisième sur le cockpit. Le E-wing est également un chasseur d'assaut redoutable : grâce à ses 16 torpilles à proton, il peut affronter les plus gros croiseurs impériaux. Cet armement lourd s'est avéré crucial lors de missions requérant une grosse puissance de feu et une rapidité que n'a pas le bombardier habituel de la Nouvelle République, le B-wing.
Lors de sa création, le E-wing est un véritable bijou technologique, doté du meilleur système de contrôle de navigation de l'époque et d'un générateur très performant. Grâce à ces avancées techniques, le E-wing est aussi rapide et agile que l'Intercepteur TIE, et sa coque renforcée est bien plus résistante que celle du X-wing.
Malheureusement ces progrès ont un coût : l'ordinateur du E-wing s'avère trop moderne pour les unités astromécano R2 habituellement en fonction dans la flotte. Un nouveau modèle de droïde est alors développé par la société Automaton, le R7, capable de gérer les systèmes avancés de navigation et d'hyperpropulsion du chasseur de FreiTek.
Le concept du vaisseau s'articule autour d'une structure modulable : du simple canon-laser au générateur principal, toutes les pièces du E-wing peuvent aisément être démontées et remplacées en un temps record. Contrairement au X-wing et au B-wing, le chasseur de FreiTek ne possède pas d'ailerons ajustables, mais sa conception moderne lui permet de surpasser tous les chasseurs de la République.
Lors des premiers engagements du E-wing lors de la bataille de Mon Calamari, les canons-laser s'avèrent d'une puissance largement inférieure aux standards. Les techniciens de FreiTek s'empressent alors de modifier les armes du E-wing pour leur faire accepter une charge de puissance trois fois plus élevée que celle des autres vaisseaux de la République. Ces chasseurs modifiés prennent l'appellation E-wing Type B.
Le K-wing est un bombardier lourd développé par la société Freitek, les constructeurs du fameux E-wing, pour le compte de la Nouvelle République environ 9 années après la bataille d'Endor.
Le fuselage profilé du K-wing est surmonté de part et d'autres par deux paires d'ailes : de chaque côté les deux ailes supérieures sont plus grandes que les ailes inférieures. La position des ailes peut être ajustée selon le type d'armes et de munitions embarquées, le K-wing étant un appareil très polyvalent. Les ailes supérieures possèdent 10 points d'emport d'armes, et les ailes inférieures 8.
La propulsion principale de l'engin est assurée par trois moteurs, un sur chaque aile inférieure, et le troisième à l'arrière du fuselage. Avec une vitesse moyenne de 90 MGLT le K-wing n'est pas le vaisseau le plus rapide de la flotte de la Nouvelle République, surtout si on le compare à un chasseur dédié ou un intercepteur, mais il demeure plus véloce que les autres bombardiers en activité.
Le cockpit est assez spacieux est peut accueillir deux hommes : le pilote et son navigateur, qui se charge également de la gestion des systèmes d'armes, laissant son coéquipier se concentrer sur le vol spatial.
La mission principale du K-wing est donc d'attaquer les vaisseaux lourds ennemis. Il dipose pour cela d'un magasin de munitions standard de 20 torpilles à protons et de quatre canons-laser. L'appareil est très modulaire et son armement peut être totalement modifié selon le type de mission à accomplir, et peut même être équipé d'un armement d'intercepteur, mais dans ce cas la maniabilité en souffre et le K-wing devient très vulnérable en combat rapproché, ce qui l'exclut de ce type de mission, généralement assignée aux X-wings ou aux E-wings.
Le K-wing fut testé en conditions réelles par l'équipe du Monitor, et entra en service actif au sein du Groupe de Combat Quickfire. Les premiers engagements du bombardier eurent lieu près de Bessimir avec la Cinquième Flotte. Il participa activement, entre autres, à la bataille de N'Zoth durant la Crise de la Flotte Noire.
Si on le compare au B-wing, le principal bombardier en activité au sein de la flotte de la Nouvelle République à l'époque de sa fabrication, le K-wing est plus agile, plus rapide et dispose d'une puissance de feu supérieure, mais il reste malheureusement moins blindé, et ses écrans déflecteurs sont plus fragiles que ceux de l'appareil de Slayn & Korpil. Le K-wing tend cependant à prendre de plus en place dans la flotte républicaine, et à devenir le bombardier de référence.
Le croiseur fut un des premiers grands vaisseaux à être utilisé par l’Alliance rebelle durant la guerre civile galactique, et s’il n’était pas le meilleur dont ait disposé la rébellion, loin de là, il lui rendit malgré tout de bons et loyaux services jusqu’à leur retrait de la première ligne.
Jusqu’à l’entrée en guerre de Mon Calamari aux cotés de l’Alliance Rebelle contre l’Empire, cette dernière ne disposait pas de vaisseaux de combat d’un tonnage et d’un armement suffisant pour pouvoir lutter contre les destroyers de classe Imperial, fleurons de la marine impériale. Le Dauntless, un des bâtiment de combat de grande taille à participer à l’effort de guerre rebelle était, comme la plupart des appareils de combat des temps héroïques de la rébellion, le fruit d’une brillante improvisation.
La base choisie par la puissante société Soro Suub de Sullust (bien connue pour ses engagements pro rebelles) pour devenir un vaisseau de bataille était celle des grands paquebots Transgalactiques de Luxe construits une dizaine d’année auparavant par la même entreprise.
Les ingénieurs de Soro Suub commencèrent sa conversion en matériel de guerre en obstruant les grandes baies vitrées et en installant un épais blindage, puis lui installèrent un puissant armement destiné à pouvoir faire face aux monstres de Kuat Drive Yards. Enfin, derniers aménagements d’importance, ils installèrent un grand nombre de capteurs et de Senseurs, ainsi qu’un appareillage de contre-mesure.
De forme lisse et vaguement semi cylindrique, le Vaisseau ainsi créé s’avéra être un des plus gros vaisseaux utilisés par la rébellion, et un des plus aboutis. Contrairement aux autres vaisseaux issus de « bricolages » utilisés par l’Alliance, le Dauntless ne montrait aucune faiblesse, et pouvait soutenir la comparaison avec les Imperials I, bien que l’Imperial II lui soit indéniablement supérieur. De plus, ses vastes hangars lui permettent l’emport de quatre escadrons de chasseurs et de 10 navettes, ce qui est relativement honorable.
Petit bémol, le nombre de membres d’équipages nécessaire à l’utilisation de cet appareil est outrageusement élevé, rappelant sur ce point une certaine classe Imperial…
Le Dauntless fut utilisé par la rébellion dès l’an quatre, et servit durant tous les grandes étapes de la ‘’libération’’ de la galaxie, mais a été remplacé par le nouveau MC 90.
Véritables titans stellaires de trois kilomètres de long et de deux de haut, ces croiseurs de bataille furent principalement utilisés par l’Alliance Rebelle et les gouvernements qui lui succédèrent au fil des époques. La courbe monstrueuse du Bulwark rappelle étrangement celle d’une créature aquatique, probablement inspirée d’un énorme poisson, ce qui engendra de nombreuses confusions, puisqu’il est souvent pris pour un bâtiment naval de conception Mon Calamari. Développés par la manufacture TransGalMeg, les Bulwark entamèrent leur service actif en tant que transporteurs lourds, pour le propre compte de la firme, comme tant d’autres de leurs produits.
TransGalMeg, après s’être aperçu de la fiabilité de ses créations, s’inséra sur le marché public, très lucratif, pour essayer de s’y établir une place importante dans l’optique de vendre un maximum de ses produits. Cela fut très probablement le cas des Bulwark et, bien qu’une quantité non négligeable fut produite, ils ne rencontrèrent apparemment pas le succès tant escompté par la firme. Quelques-uns de ces anciens navires furent récupérés par l’Alliance Rebelle lors de la Guerre Civile Galactique et armés à leurs propres frais. Bien que leur coût de maintenance soit faramineux, les Rebelles, dans leur lutte contre l’Empire Galactique, ne pouvaient se passer de tels vaisseaux en état de fonctionnement.
Aussi, à l'instar des frégates d’assauts, les croiseurs Bulwark furent automatisés au maximum, pour avoir une faible dépendance de l’équipage, qui peut être réduit à 1400 âmes au strict minimum. Un nombre pour le moins ahurissant, étant donné qu’en temps normal un engin de cette taille exige pour un fonctionnement optimal plus de 16 000 membres d'équipage et 322 canonniers. Bien que les problèmes d’électroniques et de senseurs des Bulwark soient devenus légendaires, il n’en reste pas moins le type de vaisseau le plus fiable et le plus robuste qui puisse exister. L’Alliance Rebelle trouva par ailleurs que le Bulwark constituait un vaisseau idéal comme centre de décisions stratégiques.
Malheureusement, ses moteurs subluminiques ne lui accordent qu’une vitesse relativement faible avec une poussée variant de 10 à 20 MGLT, et son hyperdrive de classe 2 ne sauve pas vraiment la mise. Au contraire, son bouclier déflecteur est particulièrement adapté et puissant pour un navire de cette extraordinaire carrure. Son armement reste quant à lui restreint mais sensiblement correcte, comprenant seulement 132 turbolasers lourds, 10 projecteurs de faisceaux tracteur, et 58 batteries ioniques, ce qui est tout à fait suffisant pour rivaliser en statistique avec deux destroyers de classe Impériale. Mais sa véritable puissance se trouve en fait dans ses immenses baies d’accostages, placées à l’avant du navire telles la bouche d’une horrible créature, qui peuvent contenir une dizaine d’escadrons de chasseurs, en plus d’une panoplie de navettes de soutien, d’assaut et de débarquement. Il peut donc rivaliser sur ce point là avec un super destroyer stellaire impérial sans toutefois pouvoir soutenir
le feu des trop nombreuses pièces d’artilleries de ce dernier.
De plus, le Bulwark a la possibilité de transporter entre 12 000 et 20 000 tonnes métriques de cargaison selon l’ancienneté du modèle, et sûrement bien plus en tant que simple transport, ce qui représente un atout très précieux lors d’un conflit. Sans compter qu’en cas d’assaut planétaire, ou tout autre manœuvre requerrant des troupes, il emporte avec lui 4000 soldats en plus d’une vingtaine de véhicules blindés. La Nouvelle République, appréciant les capacités du Bulwark, en incorpora dans ses flottes, malgré sa politique militaire de vaisseaux de petit et moyen tonnage, et, tout comme l’Alliance Rebelle, les utilisa lors d’opérations de grande envergure en tant que bases mobiles fortifiées de commandement, ou encore pour appuyer les croiseurs MC80 et MC90. On peut cependant remarquer qu’aucun Bulwark ne participa à de grandes batailles comme celle d’Endor, de Bilbringi ou encore de N’Zoth. Visiblement, on préféra leur faire éviter le plus possible de se retrouver en plein cœur d’un rude combat ou d’une escarmouche sanglante malgré leurs capacités offensives.
En effet, bien qu’ils soient largements adéquats pour le combat et largement utilisés par leurs détenteurs, leur fonction est avant tout d’ordre symbolique, c'est pourquoi ils ne disposent pas d'une place directe en première ligne dans une bataille rangée. Ils furent donc probablement positionnés à des endroits stratégiques, dans des zones de tensions ou encore à des carrefours importants de routes commerciales. Il faut dire que la perte d’un seul de ces navires est tout simplement une catastrophe, autant en ressources matérielles qu’humaines, surtout au vu des moyens astronomiques mis en œuvre pour les déployer et les garder en état de fonctionnement. Les croiseurs Bulwark devinrent ainsi presque irremplaçables, d’où la nécessité d’en sauvegarder le plus possible. Nul doute que certains de ces mastodontes furent détruits durant la terrible invasion des Yuuzhan Vong qui, dans ses incessantes avancées, éprouva durement et éroda en partie chacune des flottes néo-républicaines. Il existait égalemen t une autre version de ces croiseurs Bulwark, légèrement différente et améliorée : le croiseur de guerre porte-étendard Bulwark II.
La hiérarchisation n'est pas que symbolique. Toute communauté, même ludique, se doit de bénéficier d'un minimum d'organisation. Sans en posséder la rigueur militaire, le Cristal adopte une hiérarchie favorisant la souplesse mais aussi les exigences du jeu de rôle : tous les joueurs doivent se respecter mutuellement, mais les personnages useront de leurs rangs pour donner des ordres durant une mission, que les subordonnés se devront de suivre. La responsabilité qu'implique un grade a une importance tout aussi grande en jeu de rôle qu'au niveau de la communauté. Dans cet optique, les grades de l'escadron sont peu nombreux et aucun n'est attribué à la légère. Seuls les pilotes les plus assidus peuvent espérer être promus. Pour afficher l'intégralité de la hiérarchie militaire de la Nouvelle République, cliquez ici.
| Vignette | Epaulette | Rang |
|---|---|---|
 |  | Général |
 |  | Commodore |
 |  | Colonel |
 |  | Commandant |
 |  | Lt-Commandant / Capitaine |
 |  | Lieutenant |
 |  | Sous-Lieutenant |
 |  | Aspirant |
 |  | Enseigne |
Si les corvées de patates pleuvent souvent, des instants comme la remise des médailles doivent être savourés...Un pilote est récompensé lorsque le leader a estimé qu'il a rempli les conditions requises pour posséder la médaille en question. Sont également consignées dans ce tableau les plaques apparaissant sur les vestons de parade de vos pages pilotes.
Signification (de gauche à droite et de haut en bas) :
