by Da'Bini on Sun Apr 20, 2008 4:18 pm
DC-VIRG Cycleye
-Entrée n° 01
-Catégorie : Cybernétique
-Utilisé par : Carel Boris
Le Cycleye est un globe oculaire cybernétique développé et produit par la Deltak.
A l'origine, il s'agissait d'un projet robotique, destiné à équiper des androids. Plusieurs organisations de contrebande intéressées par ses spécificités le déclinèrent en version cybernétique afin de le proposer à des chasseurs de primes. D'abord adapté pour des espèces à très fort potentiel cérébral, il fut ensuite ajusté avec plus où moins de succès pour le marché plus important des humains.
Son cout prohibitif, du en partie à l'impossibilité de production industrielle, ainsi que les dangers inhérents à son utilisation en font un objet peu commun, inconnu des profanes. Qui sait comment Carel Boris a pu s'en procurer un exemplaire.
Principe technologique :
Le Cycleye exploite l'union des derniers cris en matière de bio-technologie et de nano-technologie.
Sa surface métallique est un assemblage de nano-machines variées: moteurs, récepteurs optiques, processeurs, capable de se réorganiser en fonction de la tache commandée. Le cœur du globe est constitué d'un processeur neuronal chargé d'un double-rôle :
- le contrôle de la communication et de l'organisation du réseau de nanites.
- La conversion des informations en signaux interprétables par le cerveau humain et capables de transiter par le nerf optique. A l'inverse, il relaye à la matrice de nanites les commandes en provenance du cerveau.
Le Cycleye possède deux niveaux d'utilisation, nommé phase 1 et phase 2.
La phase 1
Il s'agit de la phase d'utilisation "normale" où "de repos". A ce niveau, la vision est équivalente à celle d'un œil biologique humain sain.
On peut noter que le Cycleye n'a pas besoin d'être humidifié, et que l'utilisateur perd peu à peu le réflexe de clignement de l'œil. Cette particularité étrange s'ajoute à l'aspect artificiel de l'œil.
La phase 2
Archives incomplètes....
En attente de données....
Colonel Da'Bini,
Officier en second du vaisseau amiral Justice