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Salut à tous, pilotes !
Dans le contexte de la prochaine mission, je vous propose ce petit jeu de Role-Play.
Tout d'abord, veuillez répondre au sondage, puis lancez-vous dans le débat en assumant votre pilote. (Ace, tu peux jouer Da Bini si tu veux où alors c'est le moment de te créer un autre pilote ^^).
Faites principalement parler votre personnage, mais vous pouvez utiliser les PNJ pour vous donner la répartie.
Voici le cadre:
Les pilotes du Crystal, plus quelques pilotes appartenant à d'autres escadrons, sont réunis au mess. Ils sont tous sans galons, et peuvent parler librement quelque soit le grade. La discussion porte bien entendu sur la prochaine mission, et ce que vous pensez à l'idée de carboniser une planête. C'est également l'occasion d'essayer de poser les questions que vous pourriez avoir concernant le briefing et la mission!
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-Pro'lya, je n'arrive pas à croire que vous vous apprétiez à faire ça ! lança brutalement Tattiana Elmaruz.
Surpris, le Bothan arrêta son mouvement.
-Mais... Si Tattiana, quoi que vous en pensiez, Je VAIS boire le contenu de ce verre de jus de fruit, répondit t'il avant de ramener le verre à sa bouche.
-Très drôle, je parlais de la petite sauterie que vous vous organisez avec l'amiral. Savez-vous seulement combien de formes de vie vous allez faire disparaitre ?
-Un nombre incalculable, si l'on tient compte de tous les micro-organismes qui n'en réchapperons pas. Mais vous attendiez probablement quelques centaines de millions, en général, les gens ne tiennent pas compte de ce que leurs sens ne peuvent voir, répondit le Bothan, impassible. J'ajouterais que je n'ai rien à voir avec l'élaboration de ce plan. J'ai simplement le courage de le mettre en exécution.
-Du mépris et du cynisme. J'ai appris à ne rien attendre de plus de vous autre, bothans. Vous savez que la donne ne changera pas, et que nous devrons quitter ce système. Cette destruction est purement gratuite ! cracha Tattiana, dégoutté.
Mysd garda le silence. Si son visage affichait toujours ce petit sourire condescendant dont il se départissait rarement, un léger frémissement de sa fourrure trahissait, pour ceux qui savait le décoder, les émotions interne qui le parcouraient.
Le silence pesa 10 longues secondes, lorsqu'une voix s'éleva.
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Au suivant !